20 OSC du Ghana Parviennent au Terme d’une Série d’Ateliers pour être plus Résilientes et Financièrement Viables.

20 OSC du Ghana Parviennent au Terme d’une Série d’Ateliers pour être plus Résilientes et Financièrement Viables.

Du 9 au 11 octobre 2019, vingt (20) acteurs de la société civile ghanéenne ont été réuni à Accra pour un atelier de renforcement des capacités sur les stratégies de viabilité financière. Organisé par l’Institut de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (ISCAO) avec le soutien de la Fondation STAR Ghana, cet atelier a permis à ces organisations d’échanger leurs expériences et d’apprendre les étapes et meilleures pratiques pour développer un plan de viabilité financière.

En Afrique et particulièrement au Ghana, de nombreuses organisations de la société civile (OSC) dépendent du financement des donateurs étrangers pour financer leurs opérations et interventions. Au cours de la dernière décennie, certains donateurs étrangers ont commencé à réduire leur soutien financier en raison de l’évolution de leurs priorités et centres d’intérêts. Ainsi, les organisations de la société civile ont été contraintes de trouver d’autres moyens de générer des fonds pour leurs activités.C’est le cas des OSC du Ghana dont les subventions étrangères représentent une source majeure de financement.

Pour répondre efficacement aux problèmes dont les OSC du Ghana font face en matière de viabilité financière, une étude a été mené en 2015 afin d’identifier les différentes dimensions de viabilité de la société civile. Au nombre de celles-ci, il y a l’identité qui permet de déterminer la pertinence de la mission, la légitimité et l’existence de systèmes de gestion transparente. Ensuite, il y’a la dimension opérationnelle qui consiste à déterminer l’environnement d’action, le pouvoir d’influence, la qualité et la continuité des programmes, la gouvernance et le leadership. De même, il y a la dimension intervention qui met en exergue l’appropriation des projets par les bénéficiaires, la communication des résultats et les partenariats. Enfin la dimension financière de la viabilité prend en compte la planification financière, la mobilisation et l’adéquation des systèmes de gestion financière.

Qu’est-ce qu’un plan de viabilité financière ?
Le plan de viabilité financière est un document qui décrit les objectifs financiers à long terme, les stratégies et les plans d’action qui permettent de faire face aux difficultés financières imprévues. Il permet aux OSC de savoir si elles disposent de ressources financières à long terme pour continuer à réaliser leur vision  et leur mission.

Quels sont les éléments d’un plan de viabilité financière ?
Un plan de viabilité financière comprend un résumé, une analyse contextuelle de la viabilité financière de l’organisation, une analyse des ratios financiers, des buts et objectifs stratégiques, un plan d’action, des repères et des résultats, des stratégies d’amélioration continue de la qualité et un budget.

Quels sont les défis liés à l’élaboration et à la mise en œuvre d’une stratégie de viabilité financière des OSC du Ghana ? 
Les organisations de la société civile du Ghana sont mises au défi de trouver d’autres moyens de générer des fonds pour leurs activités. Elles sont confrontées à un large éventail de facteurs contextuels dans leur environnement qui mettent à l’épreuve leurs capacités à renforcer leur viabilité financière. Les réglementations gouvernementales défavorables, les mauvaises conditions économiques, le manque de culture philanthropique locale, la concurrence entre les OSC et l’insuffisance de main-d’œuvre qualifiée limitent la capacité des OSC à fonctionner de manière indépendante. Les dynamiques internes telles que la culture organisationnelle, les capacités de gestion, les structures de gouvernance interne et les mécanismes de planification financière influent également sur la viabilité financière des OSC au Ghana.

Les stratégies de viabilité financière mises en place par les OSC au Ghana 
Pour relever les défis relatifs à l’élaboration et à la mise en œuvre de la stratégie de viabilité financière, les OSC du Ghana doivent garantir un environnement flexible et développer des politiques favorables, exploiter des mécanismes de financement novateur tout en assurant l’inclusion des parties prenantes dans le développement stratégique,  élaborer un système de gestion financière sain et une planification financière efficace puis identifier les sympathisants et les partenaires partageant les mêmes idées, en particulier les partenaires locaux.

En résumé, l’atteinte de la viabilité financière est non seulement un objectif à long terme mais aussi une nécessité et une obligation pour les organisations de la société civile. Telles sont les idées partagées sont le fruit de l’atelier organisé par l’Institut de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (ISCAO) sur la planification de la viabilité financière et, qui a réuni une vingtaine d’organisations de la société civile venues des différentes régions du Ghana parmi lesquelles  le Centre d’amélioration des capacités pour le bien-être des personnes vulnérables, le Centre pour le développement des personnes (Centre for the Development of People (CEDEP) et le Projet pour les enfants de la rue (Street Children Project) de l’Archidiocèse Catholique de Kumasi.

Du 9 au 11 octobre 2019, vingt (20) acteurs de la société civile ghanéenne ont été réuni à Accra pour un atelier de renforcement des capacités sur les stratégies de viabilité financière. Organisé par l’Institut de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (ISCAO) avec le soutien de la Fondation STAR Ghana, cet atelier a permis à ces organisations d’échanger leurs expériences et d’apprendre les étapes et meilleures pratiques pour développer un plan de viabilité financière.

En Afrique et particulièrement au Ghana, de nombreuses organisations de la société civile (OSC) dépendent du financement des donateurs étrangers pour financer leurs opérations et interventions. Au cours de la dernière décennie, certains donateurs étrangers ont commencé à réduire leur soutien financier en raison de l’évolution de leurs priorités et centres d’intérêts. Ainsi, les organisations de la société civile ont été contraintes de trouver d’autres moyens de générer des fonds pour leurs activités.C’est le cas des OSC du Ghana dont les subventions étrangères représentent une source majeure de financement.

Pour répondre efficacement aux problèmes dont les OSC du Ghana font face en matière de viabilité financière, une étude a été mené en 2015 afin d’identifier les différentes dimensions de viabilité de la société civile. Au nombre de celles-ci, il y a l’identité qui permet de déterminer la pertinence de la mission, la légitimité et l’existence de systèmes de gestion transparente. Ensuite, il y’a la dimension opérationnelle qui consiste à déterminer l’environnement d’action, le pouvoir d’influence, la qualité et la continuité des programmes, la gouvernance et le leadership. De même, il y a la dimension intervention qui met en exergue l’appropriation des projets par les bénéficiaires, la communication des résultats et les partenariats. Enfin la dimension financière de la viabilité prend en compte la planification financière, la mobilisation et l’adéquation des systèmes de gestion financière.

Qu’est-ce qu’un plan de viabilité financière ?
Le plan de viabilité financière est un document qui décrit les objectifs financiers à long terme, les stratégies et les plans d’action qui permettent de faire face aux difficultés financières imprévues. Il permet aux OSC de savoir si elles disposent de ressources financières à long terme pour continuer à réaliser leur vision  et leur mission.

Quels sont les éléments d’un plan de viabilité financière ?
Un plan de viabilité financière comprend un résumé, une analyse contextuelle de la viabilité financière de l’organisation, une analyse des ratios financiers, des buts et objectifs stratégiques, un plan d’action, des repères et des résultats, des stratégies d’amélioration continue de la qualité et un budget.

Quels sont les défis liés à l’élaboration et à la mise en œuvre d’une stratégie de viabilité financière des OSC du Ghana ? 
Les organisations de la société civile du Ghana sont mises au défi de trouver d’autres moyens de générer des fonds pour leurs activités. Elles sont confrontées à un large éventail de facteurs contextuels dans leur environnement qui mettent à l’épreuve leurs capacités à renforcer leur viabilité financière. Les réglementations gouvernementales défavorables, les mauvaises conditions économiques, le manque de culture philanthropique locale, la concurrence entre les OSC et l’insuffisance de main-d’œuvre qualifiée limitent la capacité des OSC à fonctionner de manière indépendante. Les dynamiques internes telles que la culture organisationnelle, les capacités de gestion, les structures de gouvernance interne et les mécanismes de planification financière influent également sur la viabilité financière des OSC au Ghana.

Les stratégies de viabilité financière mises en place par les OSC au Ghana 
Pour relever les défis relatifs à l’élaboration et à la mise en œuvre de la stratégie de viabilité financière, les OSC du Ghana doivent garantir un environnement flexible et développer des politiques favorables, exploiter des mécanismes de financement novateur tout en assurant l’inclusion des parties prenantes dans le développement stratégique,  élaborer un système de gestion financière sain et une planification financière efficace puis identifier les sympathisants et les partenaires partageant les mêmes idées, en particulier les partenaires locaux.

En résumé, l’atteinte de la viabilité financière est non seulement un objectif à long terme mais aussi une nécessité et une obligation pour les organisations de la société civile. Telles sont les idées partagées sont le fruit de l’atelier organisé par l’Institut de la Société Civile de l’Afrique de l’Ouest (ISCAO) sur la planification de la viabilité financière et, qui a réuni une vingtaine d’organisations de la société civile venues des différentes régions du Ghana parmi lesquelles  le Centre d’amélioration des capacités pour le bien-être des personnes vulnérables, le Centre pour le développement des personnes (Centre for the Development of People (CEDEP) et le Projet pour les enfants de la rue (Street Children Project) de l’Archidiocèse Catholique de Kumasi.

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