Le processus de transformation professionnelle commence pour Shu Mabel du Cameroun

Le processus de transformation professionnelle commence pour Shu Mabel du Cameroun

Les rideaux de 2021 se sont ouverts sur une nouvelle aventure professionnelle pour Shu Mabel Lum, une jeune camerounaise ambitieuse qui se passionne pour la formation des jeunes filles afin qu’elles comprennent le rôle clé qu’elles jouent dans la société. Lum est prête à affiner ses compétences en matière de plaidoyer pour défendre efficacement le bien-être des jeunes filles.

Consciente de sa passion, Lum, étudiante en master à l’École nationale supérieure des sciences agro-industrielles de l’université de Ngaoundéré au Cameroun, a cherché des opportunités qui lui permettraient d’affiner ses compétences professionnelles et de réaliser son objectif.

C’est alors qu’est apparu l’appel à stagiaires pour le programme de stages de la prochaine génération de WACSI. Un programme conçu pour transformer les jeunes ouest-africains en professionnels chevronnés. Le programme prépare les participants et les rend aptes à occuper des postes de direction dans le secteur de la société civile.

Lum a postulé le poste de stagiaire du département du développement des capacités à WACSI, une opportunité qui, espère-t-elle, fera d’elle une défenseuse très respectée des droits des jeunes filles. Elle raconte son optimisme à l’égard du programme.

« [WACSI] est composée d’experts dynamiques et motivés qui sont compétents dans des domaines très différents et qui sont suffisamment patients pour s’assurer que la bonne formation est dispensée. Leur expertise dans différents domaines constitue la plate-forme idéale pour explorer les domaines du développement communautaire et de l’autonomisation des jeunes, qui sont mon domaine d’intérêt », dit-elle.

Lum considère cette opportunité comme une plateforme révolutionnaire qui fera d’elle une professionnelle hautement qualifiée dans le secteur de la société civile.

« J’espère être transformée de la chenille au papillon », dit-elle.

« À la fin de ce programme, je devrais être capable de faire des présentations (sur place et en ligne) avec assurance et éloquence, de rédiger de bons rapports, d’élaborer des notes conceptuelles et de rédiger de bonnes propositions de subventions », ajoute-t-elle.

Grâce à ce stage, Lum est prête à acquérir des compétences pratiques et à exploiter certaines des compétences professionnelles qu’elle possède déjà.

« C’est aussi une plateforme qui me permet de perfectionner mes compétences en matière de conception de programmes de formation, de la conception à la prestation », explique-t-elle.

Grâce à ce stage, elle espère élargir son réseau en entrant en contact avec des personnes ressources qui pourront la guider pour explorer d’autres opportunités qui auront un impact positif sur sa carrière. C’est un objectif que le NGIP a incontestablement atteint au fil des ans.

WACSI a intégré une composante de mentorat dans le programme à la suite de l’émergence de la pandémie de COVID-19. À cet égard, les stagiaires sont jumelés avec des professionnels chevronnés qui les encadrent dans leurs domaines d’intérêt professionnel. Cela permet de piquer l’intérêt de la jeune Camerounaise ambitieuse.

En apprenant cela et les éléments de formation supplémentaires intégrés dans le NGIP, Lum est assurée d’être à la bonne porte.

« Ce qui me réjouit le plus, c’est le fait que je serai une personne plus raffinée après ce programme de stages pratiques en milieu professionnel. Il comprend un grand nombre de programmes et d’activités, notamment des formations, un encadrement et des expériences pratiques qui sont indispensables à mon développement personnel et me préparent à ma future carrière », explique-t-elle avec enthousiasme.

Compte tenu du nombre limité d’opportunités existantes à la disposition des jeunes d’Afrique de l’Ouest et du processus de sélection compétitif du NGIP, elle considère en outre qu’il s’agit là d’une étape indiscutable de sa carrière, dont elle se souviendra toute sa vie.

« Compte tenu du niveau très élevé de concurrence dans la recherche d’opportunités de formation telles que celle-ci, être sélectionnée pour ce stage est un accomplissement et une indication que je peux réaliser tout ce que j’entreprends », note-t-elle fièrement.

About the author

Jimm Chick Fomunjong is the Head of the Knowledge Management and Communication Units of the Institute. He has over ten years’ experience as a journalist and a development communications expert. He has a vast experience in supporting African organisations to strengthen their internal and external communications, building and sustaining relationships with the media and, leveraging on the power of social media to promote their mission. He is also excellent at supporting organisations to set up and operationalise functional communications and knowledge management systems. He has a deep passion and expertise in supporting Africans and African civil society organisations to document their praxis, share and learn from experiences documented from the African civil society sector.

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Jimm Chick Fomunjong

Jimm Chick Fomunjong is the Head of the Knowledge Management and Communication Units of the Institute. He has over ten years’ experience as a journalist and a development communications expert. He has a vast experience in supporting African organisations to strengthen their internal and external communications, building and sustaining relationships with the media and, leveraging on the power of social media to promote their mission. He is also excellent at supporting organisations to set up and operationalise functional communications and knowledge management systems. He has a deep passion and expertise in supporting Africans and African civil society organisations to document their praxis, share and learn from experiences documented from the African civil society sector.

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